Recherche Scientifique sur le Saumon

A - Audrey Isaac
P - Pamela Isaac
 
 
 
A - Pamela, tu travailles pour la recherche scientifique, n’est-ce pas?
P - Oui.
A - Quel est le nom de votre programme?
P - La roue du jeune saumon. C’est pour aider à conserver le saumon et aussi pour vérifier l’inventaire de la rivière estuaire.
A - As-tu pris un cours spécial pour être qualifié de faire ceci?
P - Oui, en 1984, j’ai été au Collège du Nouveau-Brunswick, à St-Andrews. J’ai pris un cours intense d’onze mois et c’étais un onze mois extrêmement intense, sans congé pour devenir une technicienne d’aquaculture. C’est ce que je fais depuis vingt cinq, vingt sept ans.
A - Wow! Et quand tu as débuté le programme, c’était en quelle année?
P - J’ai débuté, en 1983, avec les écailles de saumons que nous avons recueillis. J’avais été rapproché par le chef et ses conseillers. Je venais de finir mon cours de sylviculture, qui comprend l’exploitation des forêts et ils m’ont demandé si je serais intéressé de travailler pour le département de pêche et j’ai sauté de joie car j’adore travailler avec les animaux, donc je savais que je serais plus que contente de la faire. La première année, on recueillait seulement des échantillons d’écailles de saumon, on avait un biologiste qui travaillait avec nous, à ce temps, et nous racontions, les pêcheurs qui sortaient de la rivière, à six heures. Quand ils sortaient de la rivière avec leurs saumons qui étaient déjà morts, car ils les avaient capturé dans leurs filets. Nous leurs demandons si nous pouvions recueillir des échantillons et si nous pouvions disséquer leurs saumons pour pouvoir identifier si les saumons étaient des males ou des femelles. Ce que l’on fait, c’est que l’on prend les écailles à partir de la ligne latérale juste en-dessous la nageoire dorsale et la nageoire caudale. Il y a une ligne au centre du saumon, si tu ne peux pas la voir, c’est une ligne noire. Tu descends de six rangés et c’est à cet endroit que l’on recueillit les échantillons d’écaille car elle te dise l’âge du saumon, car c’est la première rangée qui pousse, et elle continue à pousser, pousser pousser et pousser. Après on demandait aux pêcheurs si l’on pouvait disséquer leur poisson il y en qui refusent, mais la plupart des pêcheurs n’ont aucun problèmes avec ça, car nous nettoyons leurs saumons pour recueillir des donnés comme le sexe du poisson. Après, nous accrochons le saumon sur un trépied, comme celui que vous utilisez pour prendre des photos. On pesait le poisson. En fait, nous faisions ça avant de découper le saumon, mais ça nous donne une bonne idée. Habituellement, ça nous prend tout l’été pour recueillir nos échantillons, car on peut en avoir au-dessus de mille échantillons. Les échantillons recueillit était amener au laboratoire, quand on avait un laboratoire. On plaçait les écailles dans des plats de Pétri et on pouvait vérifier vingt échantillons par jours. Ça ne ressemble pas comme beaucoup de travailler, mais vingt plats multiplier sept, huit, neuf, dix ou quinze écailles mélangées dans le sulphure de sodium et l’eau. Ça prend toute la nuit pour décoller le mucus des écailles car elles doivent être claire et après tu dois les placer dans un autre plat de Pétri qui contient seulement de l’eau, après tu les fais tremper dans l’eau. Tu les sors de l’eau et tu les places également sur un petit plateau de verre. Alors, vous prenez une autre plaque de verre et vous le placez sur le sommet et vous emballez les bouts avec du ruban adhésif, alors vous mettez votre plaque sur le microscope et vous lisez les écailles. Vous pouvez lire vos écailles, vous commencez par l'anneau du centre, l'anneau le plus sombre, tu peux voir les anneaux foncès et ça te donne une idée de combien d’années ça fait que le saumon est dans l’océan. Il y a des écailles qui sont fendus et quand les écailles sont fendus, tu sais que le saumon est une femelle, elle à engendrer, donc elle a eu des bébés. Le plus vieux saumon, que nous avons vu, avait quinze ans! C’est très important pour nous de savoir que ce poissons ce promenait dans nos eaux depuis quinze ans, le saumon de l’Atlantique est un poisson très, très puissant. Les saumons du Pacifique sont très faibles, car ils meurent après avoir engendrés.
A - Donc, qu’est-ce la différence entre le saumon de l’Atlantique et le saumon du Pacifique?
P - Le saumon de Pacifique engendre après trois ou quatre ans, en immigrant dans l’océan, après ils reviennent à leurs habitats naturels. Après leurs saison d’accouplement, c’est fini, ils meurent et ne vivent pas pour différentes raisons, on ne comprend encore pas pourquoi. C’est la façon que c’est. Mais, la différence qui à en eu et le saumon Atlantique, c’est que le saumon Pacifique change de couleur, il devient rouge, un très beau rouge. Le saumon de  l’Atlantique est extrêmement fort et solide. La mâchoire inférieure du saumon monte et touche leurs palais. C’est seulement pour le male, tu peux voir les dents perce le palais. Mais, après quelque temps, ça revient normale. C’est seulement une phase en travers laquelle ils passent. Quand ils ont fini de s’accoupler, ils retournent dans l'océan, quelques saumons restent en derrière, ils traînent derrière et deviennent ce que l’on appelle le saumon noir, ils se rénovent, ils restent seulement plus longtemps qu'ils devraient dans l’eau fraîche et, après ils retournent dans l’océan, au printemps.
A - Est-ce qu’ils sont quand même considérés comme un saumon noir, quand ils reviennent?
P - Non, ils se rénovent, mais cela prend du temps, après ils reviennent un saumon rose et frais.
A - D’accord, donc ils passent à travers des changements?
P - Oui.
A - Donc, ça dépend à quel moment de l’année que tu captures le saumon?
P - Oui, c’est très joli.
A - D’accord, donc le programme a comme but principale la conservation?
P - Oui.
A - Donc, avec ce programme, vous pouvez observer le saumon et voir s’il fait un bon cheminement, pendant son cycle de vie.
P - Oui, tu as un cycle de cinq ans. On espère, que dans le prochain cycle de cinq ans, qu’il y aura assez d’inventaires dans la rivière pour garder le système de flux en vie, mais avec tous les évènements qui se déroule dans l’océan, et avec tous ces chalutiers d’océan qui collectionnent tous ces saumons et il y a aussi nos pêcheurs qui ne prennent pas trop de tonnages, ce sont les chalutiers qui prennent tous les saumons. Après quelque temps, nous n’avions pas assez de stock dans nos rivières, donc ce qui c’est passé c’est que les provinces du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Île du Prince-Édouard ont débuté la pisciculture. Ces appareilles à éclosions ils vont dans les ruisseaux sauvages et prennent les saumons sauvages, les femelles et les males et prennent les œufs de la femelle et le lait du male et les mélangent ensemble, eux-mêmes, et ont créé leur saumon et ont réapprovisionné nos rivières, de cette façon, nous savons que nous allons en avoir plus que nous en avions besoin. Mais, c’est certain que le saumon de pisciculture n’est pas de la même qualité que les saumons sauvages, car les poissons de pisciculture sont nourris de la viande. On prépare la nourriture et ou leurs nourrit cette viande où les saumons sauvages se nourris de ce qu’il peut trouver dans l’eau. Donc, tu peux voir la différence et le saumon sauvage goûte bien meilleur. Nous ce que l’on recherche dans les deux genres de saumons quand tu considères la chaîne alimentaire, sont les Oméga-3.
A - Donc, il y a encore des oméga-3 dans les saumons qui proviennent de la pisciculture?
P - Oui, oui.
A - Est-ce que tu peux comparer le début de tes journées de travail à maintenant? De quelle façon vos outils ont-ils changés?
P - D’accord en debutant, pour les trois, quatre premières années, nous recueillons seulement des échantillons d’écailles.
A - En demandant aux pêcheurs si vous pouviez disséquer leurs saumons?
P - Oui, mais après, le biologiste a eu une idée. Il a eu une idée du (MLCP) Ministère du Loisir de la Chasse et de la Pêche. Ils ont mis des filets pour prendre les saumons et ils m’ont demandé si je voulais essayer et je leurs aie dis : bien sûr! Donc, nous l’avons fait. Nous n’avons pas mis un dans le secteur d’Oak Baie et à ce temps, il y avait seulement deux équipages de deux à trois gens et j'étais la première femme à faire ceci. Donc, j'ai trouvé que c’était agréable pour moi, j’étais faciné car j’étais dehors avec les gars. Mais, j’ai vraiment adoré ça. C'était un travail très demandant, quelquefois, nous travaillons dix heures par jour pendant sept jours et nous obtenons sept jours de congé, nous avons fait que cela pour les premiers deux ans. Après, nous avons dû séparer les deux équipages et nous travaillons quatre jours et nous avons quatre jours de congé. Nous avons nos propres bateau, nos moteurs, et on utilisait des bateaux fait à la main, que les pêcheurs de notre réserve nous avaient amenés. Ils construisaient les bateaux et nous les achetons, nous avons notre propre équipement et des filets que l’on utilisait pour capturer les saumons, des gros saumons, des immenses saumons. Il y en avait qui pesaient 50 livres, c’est très pesant et il fallait qu’on les lève sur nos filets, les sortir de nos filets, nous avons construit une auge en avant du troph*** il y a un couvert en plastique qui couvre la tête des saumons, les écailles de saumons, on mesurait le saumon, après on le pesait et finalement on étiquetait les saumons sur la nageoire dorsale. Mais, nous ne tuons pas le saumon, nous remettons doucement les saumons dans l'eau, on s'assure qu'il a assez d'oxygène, ses ouïes contracteront un peu alors qu’il donne des coups, et nous le laissons aller. Nous les déposons en haut du ruisseau pour qu’ils puissent s’accoupler.
A - Quel est la signification d’une étiquette?
P - Si n’importe quel pêcheur capture ou s’il s’en va de nouveau au Groenland ou l’Islande, nous recevons, habituellement, un appel et avant, on payait chaque pêcheur dix dollars pour chaque poisson qu’il ramenait parce que l’on voulait savoir où ils avaient capturé le saumon, dans quel partie de la rivière, quel section, dans quel trou d’eau. Ça nous donne une idée d’où les saumons vont pour s’accoupler, où ils arrêtent, ou ils immigrent, on avait besoin de savoir.
A - Donc, c’était une façon de tracer nos saumons.
P - Oui.
A - Donc, tu capturais le saumon, tu l’embarquais sur le bateau, tu l’étiquetais, tu l’écaillais et tu le remettais à l’eau?
P - On le mesurait et on le mettait de nouveau à l’eau.
A - Est-ce qu’il fallait que tu nettoies les filets, à chaque jour?
P - Oui et c’était un travail intense. Aussitôt que l’on avait sortie les saumons du filet, il fallait lever tous les filets et la ligne de départ, parfois la ligne de départ était de six, sept cent pieds de la côte, car il fallait bloquer l’entrée au complet. Et, le filet, quand il est mouillé, je dirais qu’il pèse environ mille livres.
A - Wow!
P - On les tirait avec des cordes sur des poulies.
A - Donc c’est un travail demandant pour une femme?
P - C’est un travail demandant, mais je l’adore. Mais, au début j’étais jeune, naïve, idiote et énergétique.
A - Et endurante.
P - Oui.
A - Et, éventuellement, cela a évolvé en roue de jeune saumon?
P - Non, quand les filets ont sortits, il fallait arrêter. Après une couple d’années, il fallait arrêter. Ils font aussi ceci de différente façon sur différente réserves. Nous avons commencé à vérifier les anguilles. Nous avons beaucoup de pièges à anguille, que nous avons reçu d’un homme de New Carlisle. Il avait une idée. Il voulait faire du piégeage et les envoyer outre-mer, car à des endroits c’est une délicatesse, comme en France et à Hollande. Donc, il a essayé de piéger des anguilles. On va voir s’il y a assez d’anguilles, mais ça l'a jamais arrivé, il y en avait pas suffisamment. Donc, nous avons arrêté d’essayer de piéger les anguilles et c’est là que la roue de jeunes poissons est rentrée en action. Ceux-ci sont nos nouvelles. Maintenant avec la roue de jeunes poissons, nous capturons seulement des jeunes saumons. Mais, ce ne sont pas seulement les saumons qui rentrent dans les pièges, il y a aussi des éperlans par le millier, des épinoches, des anguilles, des ampères et de temps en temps nous capturons des truites que l’on aimerait garder, mais on ne peut pas garder les poissons que l’on capture en doit les laisser aller, nous n’avons pas la permission. Et avec les jeunes poissons, nous les sortons, ils sont tous vivants, nous les mesurons à bord, et ils sont seulement entre dix à quinze centimètres en longueur, jamais plus long que ça. Ils daivent être d'un minimum de dix centimètres pour qu’on les garde s’ils sont en bas de la moyenne, on doit les remettre à l'eau. Nous devons les étiqueter sur le dos avec une étiquette d'un épaisseur plus mince qu’un spaghetti et ils ont un petit numéro de série inscrit dessus. Les étiqueter, les mesurer et les remettre dans les sceaux d’eau ou dans un aquarium, doté d’une chambre d’oxygène. On les amène en haut de la rivière près de Matapédia, on les relâche et le lendemain on va verifier la roue de nouveau. La raison que l’on relâche les poissons en haute de la rivière c’est que l’on espère qu’ils reviennent par le même chemin que la dernière fois. Et, nous les capturons de nouveau. C’est ça que l’on veut, on aime garder trace de la façon qu’ils voyagent et c’est ça que l’on fait. Parfois, ils reviennent et on les capture. Une fois, on a capturé un de Kedgewick. Il y a une roue à Kedgewick, c’est le plus loin que l’on c’est rendu, notre roue est a Tide Head et nous en avons une sur le bord du Québec près du parc à roulotte, donc cela nous en dit beaucoup. L’an dernier, le département de pêche et océans du Nouveau-Brunswick a reçu une appelle du Groenland. Ils ont capturé un de nos jeunes poissons avec une étiquette et ceci est très important. C’était seulement un jeune poisson et il s'est rendu au Groenland, c’est incroyable.
A - Les appelles entrent où?
P - Au département de pêche et océan du Nouveau-Brunswick.
A - Ont-ils un numéro 1-800....
P - Oui, il y a un numéro sur l’étiquette donc, ils sont avisés.
A - C’est intéressant.
P - Oui, ça nous laisse savoir et nous donne une idée.
A - Oui, la roue doit-elle être placée dans l’eau au printemps? À quel temps doit-elle sortir de l’eau?
P - Oui, habituellement, on fait ça au mi-mai parce qu’il faut attendre que l’eau de rivière baisse, l’eau est trop rapide, trop froide, les jeunes poissons n’immigront pas jusqu’à temps que l’eau baisse et que la température soit de neuf ou dix degrés et une fois que l’on atteint ce niveau, on est prêt pour aller faire un tour sur la rivière et de placer nos roues. C’est un travail très difficile, ce n’est pas facile, c’est très dangereux. Habituellement, ce sont les hommes qui le font.
A - Est-ce que c’est pesant?
P - La roue est lourde, avec l’aide des autres femmes qui travaillent avec moi, nous pouvons soulever cette roue, mais elle est très lourde. Parfois, nous n’avons pas le choix parce que les hommes sont sur la rivière, entrain de placer la première roue. Donc nous devons préparer la deuxième roue, la mettre sur la roulotte et l’amener jusqu'en bas du site. Donc, les hommes sont prêts avec les canoës et les bateaux. Les garde-forestiers nous aident aussi avec la deuxième roue, à Tide-Head, pour l’amener parce que nous ne pouvons pas l’obtenir. C’est impossible à cause des rapides, elles sont trop fortes et trop lourdes. Le courant est fort et nous ne pouvons pas le faire avec le canoë parce qu'il écrase les canoës, donc nous utilisons le bateau des garde-forestiers pour celui-là.
A - Quels autres groupes travaillent avec vous, pour placer les roues?
P - Nous avons le Département de Pêche et Océan qui nous aide, il y a des techniciens qui ont leur roue, situé à Kedgwick, où on va les aider avec leur roue, ce sont les mêmes hommes que je travaillais avec au paravant, Ivan Benwell, Mike Arseneault et nous avons le biologiste, Paul Cameron, qui fait ça depuis des années et des années. Il était le premier biologiste avec lequel j’ai travaillé dans mon cours à St-Andrews, quand j’ai été placé à la pisciculture à Charlo. Il m’a appris beaucoup de choses dans un de mes programmes d’été de six semaines. Il est le grand patron de la région et c’est lui qui correspond avec les autres patrons, à Fredericton. On les aide, ils nous aident, à chaque jour quand nous allons vérifier nos roues le technicien, Mike Arseneault est un technicien de la faune et il nous aide et nous l’aidons. Ils rassemblent toutes les informations, les données, ils mettent toutes les informations ensembles et alors, quand nous avons besoin de nos choses pour notre prochaine année; comme obtenir nos budgets, c'est là que nous obtenons toutes nos informations. S'il est nécessaire de les prendre, ils sont là. C'est disponible à nous à tout moment.
A - C’est excellent donc vous aidez.
P - Oui.
A - Vous avez aussi un autre groupe de scientifique qui travaille en pisciculture à Charlo? Est-ce tu peux m’en parler?
P - Oui, ça fait déjà quelques années que nous, à Charlo, nous avons deux groupes qui travaillent l'a aussi. Nous avons engagé une couple d’autre personnes, mais nous ne pouvons pas tous être entrain de placer la roue en même temps, car on a seulement le droit d’être quatre par bateau, par quart de travail et il y a deux quarts de travail. Donc, avec les travaillants d’extra, j’ai décidé que l’on pouvait les placer à Charlo pour nous remplacer, maintenir et correspondre avec nous. Donc, ils peuvent nettoyer les aquariums, nourrir les poissons, couper le gazon et ils doivent garder l’endroit propre, tout cela à côter du travail sur les poissons et les tâches habituelles du pisciculture. Ils font ceci depuis plus de quinze ans.
A - Excellent, est-ce qu’il y a quelque chose que tu aimerais dire aux enfants, par rapport à la recherche scientifique?
P - Oui, un des choses les plus importantes que l’on doit faire c’est de garder nos côtes propres. S’il vous plaît garder les côtes propre, car souvent on voit des poissons en train de grignoter des vidanges et cela pollue nos eaux. Aussi, ça serait plaisant que les enfants viennent visiter la roue. D’abord que nous avons assez de vestes de sauvetage, car nous avons un autre bateau et nous avons besoin de d’autres techniciens. Ils pourrent voir ce que l’on fait comme travail et peut-être ils seront intéressés. Présentement, nous sommes six techniciens de la réserve, mais je suis la seule qui travaille car les autres ont été transférés dans d’autres branches, et on ne rajeunie pas. Donc, ça serait plaisant de continuer. Il faut que t’ai ta biologie, ta physique et ta chimie. C’est très important et il y a toujours des belles choses qui en sortent, dépendamment de la branche de travail dans laquelle tu veux t’enligner; pêche, médecine, foresterie, il y a une variété de branche. Donc, si l’on pourrait avoir plus de jeunes qui seront intéresés, ça serait avantageux pour la réserve. Le département de pêche de Listuguj c’est une grosse chose, car aussi longtemps que nous avons des saumons dans la rivière, il va avoir des emploies.

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Communautés: 
Listuguj
Auteur: 
Audrey Isaac
Pam explique qu’elle travaille pour la recherché scientifique de puis 25 année. Dans ses recherches, elle étudie la conservation du saumons de l’atlantique et suivi des saumons étiquetés.

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